GROUPES 2024

Groupes 2025  – programmation à venir
63e FESTIVAL MONDIAL DE FOLKLORE DE JAMBES

GUAM

INETNON GEFPA’GO
 Ile de Guam

 

Inetnon GefPa’go est un programme primé, mis en œuvre par le ministère de l’Éducation de Guam, la Fondation historique Inalahan, l’Office du tourisme de Guam et le secteur privé. Sa mission est de promouvoir la connaissance et la fierté du patrimoine chamorro à travers les arts du spectacle.

Ce programme se traduit par des échanges entre les jeunes et des maîtres artistes traditionnels, des présentations communautaires et des échanges culturels, des représentations dans toute l’île ainsi que la représentation de Guam lors de grandes manifestations touristiques et de festivals folkloriques à travers le monde.

L’adhésion au groupe commence au lycée Southern et à l’Université de Guam, où les élèves suivent une formation approfondie pour intégrer le groupe de l’école. Les élèves sélectionnés continuent ensuite à représenter Guam lors de grands événements insulaires et lors de festivals internationaux.

Au niveau de leur répertoire, nous trouvons, la danse emblématique de l’ancienne époque chamorro et qui s’appelle le Bailan Uritao ou Danse du jeune homme.  Elle est inspirée des descriptions historiques des pratiques d’entraînement guerrier des uritao – jeunes hommes célibataires-, qui vivaient dans la maison des hommes, ou Guma’Uritao, avant le mariage.

Les sauts vifs, les cris et le fracas des longs bâtons appelés tunas exigent précision et agilité, témoignant des prouesses du guerrier. Le rythme des bâtons qui s’entrechoquent évoque la construction d’une maison de latte, se terminant par la levée des bâtons formant le ro pointu.

Ceci conduit, généralement à la danse emblématique suivante : le Bailan Lina’la’ ou danse de la vie, qui débute avec l’entrée des danseuses sous le toit voûté formé par les bâtons uritao.

Cette danse représente la danse féminine décrite pour la première fois dans les rapports jésuites. Par pudeur, Rabon créa une jupe et un haut en feuilles de cocotier naturelles pour les femmes, plutôt que la jupe révélatrice décrite dans les documents historiques. Quant aux hommes, ils adoptèrent le sadi’, ou thu, de style micronésien.

Rabon et ses élèves successifs, ainsi que d’autres personnes indirectement influencées par son travail, ont chorégraphié de nombreuses autres danses et écrit de nombreux chants. Lui et ses disciples ont développé des danses autour de trois périodes historiques : l’Antiquité, la période coloniale espagnole et la période contemporaine. Le Festival des arts du Pacifique a eu une influence significative sur le développement de la danse de l’Antiquité, en particulier celle de la maison.

 Les instruments traditionnels de Guam sont le belembaotuyan, un instrument à cordes fabriqué dans une courge creuse, et la flûte nasale.

 Leur palmarès est impressionnant : Australie, Belgique, Brésil, Bulgarie, Chine, Commonnwealth des Iles Mariannes du Nord (CNMI), Corée, Croatie, Etats-Unis (Hawaï, Washington DC, San Diego, Arizona), Fidji, France, Hawaï, Hong-Kong, Italie, Japon, Macao, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Oman, Palaos, Pays-Bas, Philippines, Roumanie, Russie, Saipan, Samoa américaines, Slovénie, Suisse, Taïwan, Turquie, …

Cet accueil de Guam, un Commonnwealth américain, sis en Océanie – une île de 549 km2, peuplée de moins de 170.000 habitants -, est une première à Jambes, depuis la création du Festival, en 1958.

 

HONDURAS

Asociatión Cultural Zorzales de Sula
de San Pedro Sula

L’ « Asociación Cultural Zorzales » est née en 2005 sous la direction d’Erik Leónidas Martínez Paz et Katty Alejandra Paz Córdova à San Pedro de Sula, Cortes.

Elle s’efforce de promouvoir et de préserver le Patrimoine Culturel Immatériel au sein de la communauté hondurienne étant reconnue, dans le domaine culturel comme ONG et par la Direction exécutive de l’Art et de la Culture du Honduras comme représentante des traditions et du folklore honduriens. 

Le folklore hondurien possède de riches traditions folkloriques issues de la fusion de quatre groupes culturels différents : indigène, européen, africain et créole.

La musique, la danse et les costumes montrent de manière plus fraîche et plus naturelle les influences que la culture coloniale précolombienne, créole et indigène a eues sur ce peuple. 

Les danses autochtones, d’origine indigène proviennent des aborigènes avec des variations au fil du temps. Elles expriment le syncrétisme religieux, car la foi catholique, autour des saints patrons impliqués dans le guancasco – cérémonie traditionnelle –  anime également la foi indigène. 

La plupart des danses traditionnelles sont d’origine du peuple Lenca, elles ont été maintenues à travers les mayordomías et sont exécutées dans le cadre de cérémonies ou de rituels. Ces danses requièrent une certaine habileté dans le travail corporel, la gestuelle, les postures et la musicalité et sont accompagnées de masques, d’instruments de musique et d’objets rituels. 

Les danses créoles, étaient des danses exécutées par les enfants des Espagnols et des aborigènes nés sur les terres honduriennes, et qui sont devenues plus tard, représentatives des habitants du Nouveau Monde. La culture musicale espagnole a fourni la base essentielle de l’expression musicale au sein de la population métisse pour former les danses créoles.  La plupart des danses métisses portent les noms de danses de salon européennes qui ont pris racine parmi la population métisse pendant la période coloniale et au début de l’indépendance. 

Dans le répertoire, leurs danses d’imitation créole rappellent les mouvements caractéristiques des animaux, mais aussi certaines activités comme : les corridas, les vols d’oiseaux, la chasse… alors que leurs danses coloniales ou royales rappellent l’époque coloniale en raison de l’acculturation et ont été assimilées par le peuple sans perdre leur essence traditionnelle. 

La musique traditionnelle hondurienne est captivante, des rythmes entraînants des tambours garifunas qui évoquent les rituels ancestraux à la rusticité émouvante des chants folkloriques xíbaras qui racontent des histoires d’amour, de désir et de la vie quotidienne rurale,  chaque genre musical peignant l’essence de la région qu’il représente. Cependant, la musique envoûtante du marimba mêle harmonieusement les échos des traditions indigènes aux mélodies d’influence européenne. 

Durant une décennie, Zorzales de Sula  s’est associée à l’Uth San Pedro Sula, l’Université Technologique du Honduras pour organiser le seul festival interinstitutionnel destiné aux étudiants, 90% n’avaient jamais dansé. Ainsi, l’objectif de transmettre des valeus, telles que l’identité nationale, le travail en équipe, la solidarité et la responsabilité fut atteint. 

L’Association a participé pour la première fois, en 2016, au CIOFF® World Folkloriada, à Zacatecas, au Mexique aux côtés de 60 autres pays, événement étant considéré comme les Jeux Olympiques du Folklore

Lors de la pandémie Covid, l’Association a participé à des festivals virtuels, et a lancé l’application d’enseignement du folklore hondurien, Folk Hn. 

Zorzales de Sula, lauréate de nombreux prix,  est officiellement représentante  du Honduras, du CIOFF® (Conseil International des Organisations de Festivals de Folklore®) et du FIDAF-Honduras (Federation of International DAns Festivals).

En mars 2025, Zorgales de Sula participa à son premier festival pour enfants – Il Bambino del Mondo -, à Agrigento, en Sicile. 

Leur palmarès est impressionnant : Brésil, Colombie, Costa-Rica, Espagne, États-Unis, France, Hongrie, Italie, Kazakhstan, Mexique, Pologne, Roumanie, Serbie… 

Zorales de Sula … plus qu’un groupe … Un sentiment, pour une Culture de Paix, si importante en 2025 ! 

C’est une première à Jambes depuis la création du festival, ajoutant ainsi ce pays à son palmarès ! Bienvenue !

INDE

KALANJAY Dance Academy
de Mumbai

Fondée à Mumbai en 2010 et dirigée par Madame Vaishali Sagar Chopra, la Kalanjay Dance Academy est spécialisée dans l’enseignement de la danse folklorique et est une fervente défenseuse de la danse folklorique et fusion indienne.   Ses professeurs, Rooma Banerjee et Prashant Bhafalekhar, ont joué un rôle important dans sa formation.

L’école compte actuellement quatre cents cinquante élèves et possède un réseau d’anciens élèves de plus de 2 000 danseurs.

Chaque année, les élèves passent des examens reconnus par le gouvernement à la très réputée SUR JHANKAR ACADEMY. Outre les danses folkloriques indiennes, ils apprennent également les danses occidentales, populaires et fusion.

Dans une vibrante célébration du mouvement, de la musique et de la tradition, Kalanjay Dance Academy insuffle l’âme des arts populaires indiens, la magie au riche patrimoine des arts du spectacle à travers le chant, la danse et la musique folkloriques indiens.

La diversité culturelle de l’Inde trouve son expression la plus dynamique dans ses danses et musiques folkloriques.

Des danses rythmées du Garba – danses rituelles et religieuses, aux gracieux tournoiements du Kathak, chaque représentation raconte une histoire, préservant des siècles de tradition tout en rassemblant les communautés.

Depuis des générations, la danse est bien plus qu’un simple mouvement : c’est un langage d’expression, de dévotion et de fête.

De même, les chants folkloriques, ancrés dans la terre et l’esprit de l’Inde, transmettent sagesse, amour et célébration à travers les générations.

Transmettant cet esprit la Kalanjay Dance Academy s’apprête à transformer les marches en expériences culturelles immersives, où chaque pas vibre au rythme de l’Inde.

Les femmes sont parées de vêtements richement brodés et colorés. Les hommes portent le kurta ou le sherwani – richement brodé avec des strass.

Au niveau musical, les instruments d’Inde sont fort anciens et fort complexes. Il en existe une grande variété avec de nombreuses variantes locales, qui font de chacun de ces instruments une œuvre d’art en soi.

Les plus couramment utilisés sont : le sitar, le sarod, le tambura, le sahnai, le sarangi et le tabla, mais, la musique a aussi intégré quelques instruments occidentaux depuis longue date comme le violon et l’harmonium, ou plus récemment : la mandoline ou le saxophone.

L’Académie s’est progressivement imposée comme un pilier du paysage de la danse folklorique indienne et a connu un parcours exceptionnel.

Forts de multiples récompenses, son avenir est prometteur : médaille de Bronze au Festival en Corée du Sud, prix du jury au Festival de Buyukcekmece (Turquie), médaille d’or aux Bambini Del Monde à Agrigente (Italie) …

À plusieurs reprises, KALANJAY a reçu une « standing ovation ». 

Kalanjay Dance Academy représente l’Inde dans de nombreux festivals folkloriques internationaux : en Italie (organisé par l’UNESCO), en Allemagne, en Autriche, en Belgique, en Bulgarie, en Corée du Sud, en Espagne, en Grèce, en Pologne, au Portugal, en Turquie …

 « Soyez honnête et dévoué à votre art ! » enseigne la directrice à ses élèves.

MEXIQUE

Grupo de Danza Folklorica Mexicana Nahui-Ollin
de Puebla

Le groupe a été créé en 1994 dans la ville de Puebla, sous la direction d’Antonio Gutiérrez Hernández et Felipe Amador Gallardo.

Il est composé de jeunes étudiants dont l’objectif principal est de mettre en valeur leurs racines autochtones.

Ce groupe de danse naquit dans les locaux du Colegio Puebla, c’est pourquoi il représente officiellement cette institution en bénéficiant du soutien inconditionnel des directeurs, qui ont été, pour une part essentielle de la croissance du groupe, tant au niveau national qu’international. 

L’objectif principal est de projeter leurs racines autochtones à travers l’art de la danse traditionnelle et ainsi, diffuser la culture et le folklore mexicains auprès de la jeunesse, tant au Mexique qu’à l’étranger.

Grupo de Danza Folklorica Mexicana Nahui-Ollin possède un riche répertoire de danses nationales et traditionnelles qui reflètent l’origine de chaque état du Mexique et leur relation avec le métissage. 

Sones, de l’État de Jalisco – état réputé pour ses Mariachis, ses charros et sa tequila. Jalisco étant un symbole de la culture mexicaine. Ses danses traditionnelles sont remplies de couleurs, de rythmes et de joie, représentant l’histoire et l’esprit du peuple jaliscien. 

Huapangos de l’État de Hidalgo – les Huapangos hidalguenses constituent une expression culturelle importante, une danse et musique traditionnelles qui trouvent leurs racines dans le fandango espagnol et le son huasteco, fusionnés avec des éléments locaux. Les huapangos se caractérisent par leur rythme joyeux et leurs pas de zapateado. 

Sones Jerezanos de l’État de Zacatecas – les sones Jerezanos sont des danses traditionnelles originaires de la région de Zacatecas. Elles sont composées de pas de zapateado et de pauses, où la femme montre sa coquetterie en exécutant son faldeo devant l’homme. 

Sones de Sinaloa Costa – danse folklorique qui est très populaire dans la région côtière de l’État de Sinaloa. Les mouvements de cette danse imitent les vagues de la mer et présentent un mélange de styles influencés par les cultures locale, espagnole et afro-cubaine. Les pas de danse de pascola, judío et matachines étant très distinctifs. 

Accompagné d’une formation musicale, Grupo de Danza Folklorica Mexicana Nahui-Ollin participe à des évènements nationaux et internationaux, invité régulièrement par des organismes officiels et privés, ainsi que par des institutions éducatives du Mexique. 

Au niveau du palmarès, le groupe s’est produit lors de festivals internationaux en Allemagne, en Argentine, au Canada, en Crète, à Cuba, en Chine, aux Etats-Unis, en France, en Grèce, en Italie, aux Pays-Bas, en Sardaigne, en Suisse.

SLOVAQUIE
TURQUIE
BELGIQUE - FLANDRE (Duffel)

De Moeffeleer
de Duffel

Le 29 août 1972 a eu lieu la première réunion de danse, avec quelques danseurs et des jeunes de Duffel, ainsi est né, le Volkskunstgroep De Moeffeleer

En 1990, le groupe fait peau neuve, on parle alors de groupe d’art populaire avec plusieurs départements : pour les adultes « De Moeffeleer », pour les enfants et les jeunes « Kinnebaba ». 

Kinnebaba, nommé d’après « Kinneken Baba », l’enfant d’une famille de géants traditionnels autour duquel, depuis 1973, De Moeffeleer danse en compagnie des enfants et jeunes. 

Plus tard, le « Groupe Musique » fut créé, pour les musiciens qui aimaient, de temps en temps, jouer un air folklorique, et ensuite « De Baent », baptisé d’après le nom d’un château populaire connu sous le nom de Kasteel De Locht. 

Tout a commencé, dans le département « De Moeffeleer », des danseurs âgés de 16 ans et plus, y interprétaient des danses flamandes, tant traditionnelles que nouvelles, qu’ils présentaient  en Belgique et à l’étranger. 

En 1979, lors d’un voyage à l’étranger, l’enthousiasme pour le jeu de drapeaux ne s’est pas démenti. Depuis lors, les porte-drapeaux font partie intégrante du groupe et l’art d’agiter les drapeaux a pris sa place dans les représentations et les activités. 

En 1984, lors du cinquième anniversaire du jeu de drapeaux, il a été suggéré de fabriquer de la dentelle. Dès lors, les dentellières ont participé pour la première fois à une activité du Volkskunstgroep De Moeffeleer, depuis impossible de s’en passer. 

L’orchestre folklorique au sein de De Moeffeleer accompagne les danseurs et les porte-drapeaux. Depuis le début, la musique en direct est essentielle chez De Moeffeleer. Les instruments de l’orchestre folklorique sont toujours acoustiques.

Les instruments sont ceux, qui, sont utilisés depuis des siècles en Flandre, tels que : l’accordéon, le violon et la flûte ainsi l’épinette et le fifre. Parfois, une cornemuse, un dulcimer ou tympanon renforce l’orchestre. 

De Moeffeleer présente des danses issues de la riche tradition de danse folklorique Flamande.

Il s’agit notamment, de danses traditionnelles, comme « de kadril », dont, presque chaque village Flamand a sa propre version, dansée lors d’occasions festives — par exemple, il existe le « Lancierskadril van Duffel » originaire de notre propre ville. 

D’autres danses folkloriques traditionnelles représentent des événements importants comme : la plantation de l’arbre de Mai ou les mariages, tandis que certaines mettent plutôt en valeur des scènes de la vie quotidienne, comme le travail aux champs. 

En plus de ces danses traditionnelles, De Moeffeleer propose aussi de nouvelles danses folkloriques Flamandes créées sur de la musique traditionnelle, basées sur des éléments traditionnels. 

Les costumes portés par les danseurs sont inspirés de la tenue traditionnelle portée dans la région de la Campine à la fin du XIXe siècle. 

Chez les hommes, on remarque particulièrement le foulard rouge classique et la casquette noire, appelée aussi « faas ». Ils portent une chemise paysanne et des bretelles qui maintiennent leur pantalon. 

Les femmes portent sous leur jupe, un jupon et une culotte en coton. Un tablier en lin bleu, repassé et conservé de manière à former un motif en damier, complète la tenue.

 Outre leurs prestations en Belgique, leur palmarès est le suivant : Allemagne, Autriche, Estonie, France, Hongrie, Irlande, Pays-Bas, Pologne…

BELGIQUE - WALLONIE (Jambes)

Frairie Royale des Masuis et Cotelis Jambois

de Jambes

Créée en 1960, dans la foulée du Festival International de Folklore, la Frairie Royale des Masuis et Cotelis Jambois, fête ses 65 ans cette année.

L’ensemble est composé d’adultes et d’enfants, de danseurs, de musiciens et de porte-drapeaux.

Elle a pour objectif de ressusciter les traditions ancestrales de Jambes, par la musique et la danse.

Les costumes aux tons chatoyants sont ceux qui étaient portés au 18e siècle, les dimanches et jours de fête. Ils furent réalisés d’après des tableaux et gravures exposés, au Musée Groesbeeck de Croix à Namur.

Le répertoire est très varié et comprend la plupart des danses wallonnes traditionnelles : arèdjes, matelottes, mazurkas, passe-pieds, quadrilles, troïkas, valses, …

Certaines danses sont issues des croyances et coutumes de notre région. Par exemple, la polka noire était réputée maudite parce qu’elle provoquait, disait-on, la maladie de la pomme de terre.

Une danse particulière du groupe, le Branle de Mariembourg ou Danse du Bouquet revêt une grande importance historique : les archives rapportent en effet qu’elle fut exécutée devant Louis XIV et sa cour, après le siège de Namur en 1692.

Depuis sa création, le groupe a visité pratiquement toute l’Europe : Allemagne, Autriche, Danemark, Espagne, France, Irlande, Italie, Portugal avec son archipel des Açores et l’Ile de Madère, Tchéquie, Suède, Suisse, Lituanie, Lettonie, Pologne…

Sa réputation a traversé l’Atlantique grâce à plusieurs tournées aux États-Unis (Wisconsin, Louisiane et Caroline du Nord) ainsi qu’au Canada, plus précisément à Namur (Québec). Le continent africain n’a pas été oublié, avec la participation à deux reprises au Festival de Louga au Sénégal.

La Frairie est présente dans la plupart des fêtes locales et régionales et représente régulièrement la Wallonie à l´Européade du Folklore.

BELGIQUE - WALLONIE